Maxime Et L’Amie De Sa Mère.

Je m’appelle Maxime, j’ai 19 ans, je suis de taille moyenne, 1.75m, brun et sportif, je vivais seul dans un pavillon de banlieue avec ma mère, jusqu’à ce qu’elle propose à une amie d’enfance, Carine, de venir vivre avec nous pour faire des économies de loyer.
Carine a 40 ans, le même âge que ma mère, c’est une belle femme blonde, cheveux mi- long, elle mesure un bon mètre 60 et à une poitrine généreuse, c’est une femme qui plait beaucoup aux hommes.
Ma mère travaille comme ouvrière dans une usine, elle y fait les 3/8, tandis que Carine est secrétaire et a des horaires de bureaux.
Carine est une femme qui n’est pas très pudique. Elle peut débarquer en nuisette au petit déjeuné, malgré ma présence, ce qui je vois bien ne plait pas trop à ma mère.
Mais ce matin, Carine va me montrer une nouvelle facette d’elle. Il est 5 heures, ma mère vient juste de partir pour le travail, cette semaine, elle est du matin.
Quelques minutes après son départ, je vois la lumière du couloir s’allumer et j’entends des pas qui se dirigent vers ma porte. La porte s’entrebâille et j’entends la voix de Carine murmurer : « tu dors max ? Je peux entrer ? » et sans attendre ma réponse, je vois Carine dans l’entrée de ma chambre. La lumière du couloir laisse apparaitre sa silhouette, elle est vêtue d’un déshabillé bleu clair, très cours et transparent, à travers lequel, je distingue très bien ses seins et sa culotte rouge.
Elle s’approche de moi, s’assoit sur le bord de mon lit et me dit : « tu me plais, et je vois à ta façon de me regarder que cela est réciproque ».
Je ne sais pas quoi lui répondre, mais c’est vrai que je pense souvent à elle lors de mes plaisirs solitaires. C’est alors qu’elle pose sa main sur mon torse et commence à la descendre le long de mon ventre, jusqu’à arriver à l’intérieur de mon caleçon. Je sens mon sexe prendre vigueur suite à la prise en main de cette cougar sexy.
Tout à coup, Carine se lève du lit, baisse sa culotte, de façon lente et sensuelle, pour laisser apparaitre sa chatte légèrement velue.

Elle fait quelques pas et va s’assoir sur mon bureau avec ses cuisses largement écartées et me dit : « Alors qu’est-ce que tu attends, je sais que tu en as autant envie que moi ».
Je me lève rapidement pour la rejoindre, je suis maintenant face à elle, je pose mes deux mains sur ses cuisses et glisse ma tête à l’intérieur de son entre-jambe. Je commence à lui lécher son charmant minou et face à ses petits gémissements, j’accéléré la manœuvre pour littéralement lui bouffer la chatte.
Carine pose ses deux mains sur le bureau et commence à se cambrer, ses petits gémissements se transforme en en des cris d’orgasmes de plus en plus fort. Au bout de cinq minutes, je n’en peux plus, j’ai l’impression d’avoir le feu à l’intérieur de mon caleçon, je le retire, et je fourre ma bite à l’intérieur de sa chatte complètent trempée de plaisir.
Je commence des mouvements de vas et viens, d’abord lent, puis j’accélèrent le rythme tout ça pendant 2 bonnes minutes. Puis je me retire, je la retourne pour retrouver face à son dos, je soulève sa jambe gauche, je pose cette dernière sur le bord du lit et j’enfourne de nouveau sa chatte, je mâchouille ses cheveux tout en continuant mes coups de butoir dans son orifice.
Je suis maintenant au bord de l’éjaculation, je m’allonge sur le lit et Carine vient me rejoindre, se saisi de mon sexe encore bien raide et le prend à pleine bouche, je ne tarde pas à envoyer la purée, elle se précipite vers la salle de bain pour recracher mon venin et revient pour me dire tout naturellement : « Bon il faut se préparer maintenant, tu vas être en retard au lycée et moi au boulot si ça continue ».
Gêné de la situation, je lui rétorque : « on pourrait peut-être un peu parler de ce qui vient de se passer ».
Elle me répond avec un petit sourire en coin : « on ne va pas faire un débriefing, on s’est bien fait plaisir tous les deux et c’est tout ».
Je suis scotché par la désinvolture de cette femme, elle vient de coucher avec un gars qui est le fils de son amie d’enfance et qui pourrait être son fils et elle reprend sa vie comme si de rien n’était.
En fait je me rends compte que je n’avais été qu’un objet sexuel qui lui a servie à assouvir sa pulsion du moment, et qu’elle devait surement être coutumière de ce genre d’aventure.

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